Andarielle
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 Aläna Di'Sýma Ceolìnn

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2 participants
AuteurMessage
Aläna Di'Sýma
Nomade
Aläna Di'Sýma


Féminin Nombre de messages : 21
Age : 37
Date d'inscription : 09/04/2007

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MessageSujet: Aläna Di'Sýma Ceolìnn   Aläna Di'Sýma Ceolìnn Icon_minitimeLun 9 Avr - 14:55

Nom : Ceolìnn (prononcé "Kyo-lin")
Prénom : Aläna (Di’Sýma)
Âge : 19
Sexe : féminin

Race : mi-Andarienne, mi-Gaëlienne
Profession désirée : nomade

Description Physique : Aläna fait 5’4’’, elle a les cheveux bruns pâles sur le dessus et brun foncé près de la nuque, atteignant le haut des omoplates pour les plus longs, et les plus courts cheveux sont à la hauteur de ses yeux bruns foncés, en dégradé autour de son visage. Sa peau est assez pâle, sans lui donner un air maladif. Elle a le teint légèrement rosé, et sa peau réfléchit parfois au soleil. Elle a également une cicatrice sous l’œil gauche. Sa silhouette est fine, et sa voix n’est ni grave, ni aigue : ses paroles sont une mélodie où chaque mot est agréablement lié au prochain, d’un son doux, juste assez fort pour être entendu. Aläna porte des vêtements noirs munis de motifs blancs, et une armure légère et partielle d’une couleur assez pâle. Elle est souvent accompagnée d’un jeune loup blanc et de son bâton de marche. En guise de défense, elle possède un poignard de 14 pouces qui est placé le long de sa botte droite sur le côté extérieur, un tanto de 20 pouces qu’elle porte à la taille et une dague de 9 pouces caché sous son armure à la hanche gauche.
Description Psychologique : En pleine nature, Aläna se fond au décor, malgré ses vêtements foncés et sa peau pâle. Seuls ceux qui sont très observateurs ou qui possèdent une ouïe remarquable vont la déceler. Elle redoute les êtres humains en général, restant souvent sur ses gardes. Elle appréhende particulièrement les agglomérations populeuses, croyant que l’éloignement de la campagne et du monde animal détériore la vie de leurs habitants. Aläna a confiance en ses habiletés à repérer un danger en milieu naturel, et il lui arrive de baisser sa garde, sachant aussi que son loup veille sur elle. Elle est habituellement assez silencieuse, ne communiquant que très peu ses pensées personnelles. Elle ne ressent pas le besoin de parler et il pourrait lui arriver d’ignorer quelqu’un ou de ne pas lui répondre. Elle est par contre très curieuse et aventurière, sa naïveté l’aveugle parfois des vrais dangers qui s’imposent aux risques qu’elle prend. Aläna ne garde pas une émotion vive longtemps en elle, cherchant à garder la paix d’esprit, c’est pourquoi elle semble réagir beaucoup plus en retour. Son visage et son expression corporelle sont souvent très neutres face à ceux qui ne sont pas très proche d’elle, au point qu’elle peut sembler froide; elle est seulement détachée du reste des gens. La dame des bois a un caractère très pacifique et assez passif, et préfèrera éviter un affrontement plutôt qu’en provoquer un. Seuls le temps et la loyauté peuvent lui permettre de faire confiance en quelqu’un. Son but personnel est de trouver une mentalité dans laquelle elle se sentirait bien, car sa vie est coincée entre son adoration de la nature et la race humaine dont elle fait partie, mais dont les moeurs lui semblent inacceptables.

Histoire du personnage : Près d’un petit village vivait paisiblement un Andarien, qui fauchait son coin de prairie pourvu de multiples céréales. Il recevait de l’aide d’autres villageois, et leur apprenait comment faire du pain à partir des récoltes. Parfois même, des gens de la localité venaient lui acheter du pain, prétendant qu’il était leur préféré. Cependant, ceci était rare puisqu’il était situé bien loin, dans un hameau éloigné des routes. Derrière son champ et celui de ses voisins résidait une forêt qui continuait à l’horizon sans qu’on puisse en définir la fin. Là, à la transition des deux paysages qui s’entrechoquaient vivement, gisait des petits plans de baies, trop insolites pour en faire un marché, mais très apprécié des habitants du voisinage. Lorsque cet homme labourait sa terre ou cueillait des herbes, il lui arrivait d’apercevoir l’ombre d’êtres légers et hâtifs ayant récolté les petits fruits nichés entre la lumière et l’obscur de la forêt dense. Évidemment, les Andariens aussi profitaient de la proximité de la forêt pour aller chasser quelques petits gibiers pour leurs familles.

Lorsqu’il partait à la recherche d’un bon petit lapin à mijoter pour le repas du soir, il aperçut un de ces êtres frêles et gracieux, par malchance prit dans un piège qu’un villageois riverain avait installé pour gagner du temps. Il s’approcha doucement, sans mauvaise intention ou mouvement brusque, afin de déprendre la pauvre créature de l’appât. Les Gaëliens de cette région n’avaient pas beaucoup de contacts extérieurs, vivant dans leur grande forêt loin des autres cités et des routes empruntées. Les tribus de la région étaient un peu sauvages face aux autres races car ils étaient plutôt primitifs dû à leur éloignement et leurs petits regroupements. Ainsi, leurs dialectes s’étendaient sur un archipel de variétés et de similarités, rendant le langage commun futile à leurs yeux, et ne se répandant plus de génération en génération. Seuls quelques vieux sages pouvaient encore communiquer avec les autres races. La jeune humaine des bois était alors un peu réticente mais se laissait libérer de sa prison. Elle était toutefois blessée et fiévreuse, et dans son délire, elle se laissa transporter jusqu’à la demeure de l’homme. Ils s’apprivoisèrent et se firent bientôt confiance, la belle créature de la forêt guérissant rapidement de ses maux. Le fermier tomba amoureux de la sirène des bois, son caractère pur exprimé dans la simplicité de ses gestes et réactions le passionnait. Jamais il ne pourrait adorer une autre qu’elle de cette manière.

Dans l’échange des ces deux êtres si différents, une affection s’installa, qui tôt et inévitablement les sépara. Quand la Gaëlienne se senti prête à repartir, rien ne l’arrêta. Surtout pas cette intuition de maternité qu’elle ressenti en pleine nuit, à peine sa peau guérie de ses plaies. Le pauvre boulanger constata son départ avant que la lumière fasse briller les champs d’un doré presque flamboyant, et ce matin-là, il comprit qu’elle ne reviendrait pas. L’agile forestière trouva son chemin jusqu’à sa tribu et donna naissance des mois plus tard, à Aläna. Sa mère l’éleva comme les autres enfants de la forêt, mais Aläna semblait toujours un peu moins compétente dans les domaines dans lesquels, habituellement, les Gaëliens excellaient de façon innée. La mère, seule à savoir la nature semi-Andarienne de son enfant, tentait tant bien que mal de lui enseigner les connaissances et habiletés de sa race, empêchant quelque peu sa fille de se créer des liens d'amitiés. Ses racines Andariennes, bien qu’elles ne furent pas si apparentes, ressortaient discrètement dans le clan de Gaëliens purs, or tous pouvaient ressentir une sorte d’inconfort et d’incongruité vis-à-vis de la jeune fille. Ils ne la sentaient pas différente; plutôt altérée. Et c’est ce qu’elle était. La nouvelle mère s’efforçait de lui montrer comment survivre dans leur milieu, car les Gaëliens atteignant l’âge de 11 ans devaient partir en forêt seuls et revenir que quelques lunes plus tard. Cette épreuve allait habituer les enfants aux intempéries et au rythme de la vie, et prouver qu’ils étaient dignes de faire partie de la tribu, comme une sorte d’initiation. Au cours de l’épreuve, Aläna se perdît en forêt et ne retrouva pas sa voie vers la tribu. Cependant elle survécu, son malheureux père ne connaissant jamais sa fille et ne revint jamais la femme qu’il aimait. Sa mère bascula dans la peine d’avoir perdu sa fille si chère.

La vie n’était pas aussi triste pour la jeune âme, qui venait à peine d’ouvrir ses yeux à la découverte du monde. Par très grand hasard, elle aboutit face à une grande prairie qui s’étendait devant ses yeux. Il s’agissait bien des mêmes champs qu’habitaient les Andariens et que son père fauchait probablement encore, mais l’étendue d’herbes était si grande qu’Aläna n’avait que peu de chances de le rencontrer. Cependant, elle croisa un grand mais guère nombreux village qui l’hébergea et ses occupants furent généreux avec elle. Elle fût d’abord vêtue et apprit le langage commun écrit et parlé. Son agilité et sa rapidité faisaient d’elle un être d'une grande efficacité, et donc en échange elle rendait de multiples services aux villageois : elle retrouvait un cochon qui s’était enfui, ou encore aidait lors des récoltes fructueuses. Un des plus habiles au combat remarqua rapidement qu’elle savait se battre, et alla chasser le gibier avec elle pour en savoir plus sur ses techniques inconnues. Il lui apprit à manier l’épée courte, et lui procura une nouvelle arme confectionnée par le forgeron du proche bourg. Bien que la vie fût agréable, Aläna ne s’était pas installée dans cette petite ville avec l’intention d’y rester; ainsi elle quitta, ne trouvant pas qu’elle appartenait à cette vie.

Jusque là, Aläna faisait confiance aux gens et avait apprit à respecter tout ce qui l’entourait. Par contre, sa nature craintive refit surface lorsqu’elle vit une louve se faire abattre cruellement. Elle se cacha et témoigna de l’agressivité envahissante de l’humain, puis lorsqu’il repartit, alla rapidement à la tanière où le chasseur avait piégée la louve. Elle y trouva des louveteaux morts, parsemés d’ecchymoses. Aläna ne savait quoi faire face à une telle situation, elle se sentait désemparée. Un louveteau apparut devant les yeux mouillés d’Aläna, sortant de sa cachette. Sans être albinos, le louveteau était tout blanc, ses grands yeux ronds étaient presque noirs. Aläna s’occupa de lui jusqu’à ce qu’il soit assez grand pour se défendre, mais quand elle le laissa, le loup la suivi inconditionnellement. L’adolescente, qui avait quelque peu renié la mentalité Gaëlienne, alors reprit en considération les idées qu’elle avait apprises dans le passé. Elle nomma son compagnon Ydù, qui voulait dire espoir dans son dialecte Gaëlien. En forêt, Aläna et son loup étaient très ressemblants. Elle s’associa beaucoup à cet animal et, pour reprendre les coutumes de sa tribu, se donna un deuxième nom qui, selon elle, la représentait. Ce nom était ‘Di’Syma’, (prononcé "Di-Shïma") qui voulait dire 'loup' et 'lune' ensemble, rappelant deux étapes de sa vie très importants. Ces deux évènements représentaient aussi le retour à chacune des deux races dont elle faisait partie, mais ça elle n’en savait évidemment rien. Pourtant, elle n'était pas dupe; partout où elle était allée, quelque chose d'insondable la différenciait des gens, et elle était consciente de ce fait. À partir de ce moment, elle décida de ne plus mentionner le nom que sa mère lui avait donné, pour maintenir son anonymat parmi le monde humain qu’elle savait maintenant garni de cruauté hypocrite.

Grâce à sa capacité à survivre, elle voyagea de village en village, parcourant de longs sentiers entourés de nature dans lesquels elle s’enfonçait parfois par curiosité, pour se retrouver finalement près d’une autre contrée, ou sur le terrain d’un habitant. Lorsqu’elle vivait quelques temps en milieu commun, elle offrait de l’aide à qui le voulait bien, n’ayant aucune spécialité lui permettant d’ouvrir un commerce ou d’avoir une profession distincte. Son loup se cachait dans les bois, incapable d’affronter une présence humaine autre que celle d’Aläna, et c’est pourquoi elle ne restait dans les territoires humains bien longtemps. C’est ainsi qu’elle grandit et fit son chemin, abritant en son cœur l’espoir d’appartenir à une idéologie qui la ferait vivre plus fort, combattant en elle-même cette dualité de la nature belle et sereine et de l’humanité pourvue de connaissances et d’inventions, mais au tempérament destructeur.
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MessageSujet: Re: Aläna Di'Sýma Ceolìnn   Aläna Di'Sýma Ceolìnn Icon_minitimeMar 10 Avr - 10:13

Hmmm...

Une hybride hein... et bien pourquoi pas..

Présentation acceptée, bienvenu parmis nous!

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